maître d’ouvrage public : de 40 à 60 % selon la population et l’effort fiscal maître d’ouvrage privé : 55 % maximum Restauration et entretien des immeubles et objets inscrits
Etudes de diagnostic : 50 %
Travaux :
maître d’ouvrage public : de 30 à 50 % selon la population et l’effort fiscal maître d’ouvrage privé : 40 % maximum
Ce dispositif lancé par le département donne accès à une subvention dont voici les modalités :
– 20 % maximum de la dépense éligible HT – plancher de subvention : 1 500 € – plafond : 20 000 € pour les églises protégées, 10 000 € pour les églises non protégées
Pour les églises protégées au titre des Monuments historiques, le Conseil départemental intervient uniquement en accompagnement de la programmation de la Direction régionale des affaires culturelles.
Taux d’intervention régional : – 50 % du coût TTC en l’absence d’autres partenaires financiers. – dans le cadre d’un plan de financement multi-partenarial, le total des aides ne pourra pas excéder 70 %. – une bonification de 10% sera appliquée pour les territoires en situation de vulnérabilité socio-économique relative (Cf. carte EPCI en annexe). – l’aide est plafonnée à 20 000 € par projet de valorisation, bonification éventuelle incluse.
Le bénéficiaire ne peut déposer qu’un seul projet par an, qui sera programmé en fonction de l’enveloppe budgétaire annuelle dévolue à ce dispositif.
Les communes de moins de 500 habitants bénéficient d’une subvention de 40% du montant du devis HT retenu.
Les communes ayant une population de 501 habitants à 4999 habitants bénéficient d’une subvention de 30% du montant du devis HT retenu.
Le montant des subventions versé annuellement à chaque commune ne peut être supérieur à 2 000 €/an et ne peut, à chaque demande, être inférieur à 100€.
:
Les communes souhaitant restaurer des documents anciens.Les documents de plus de 75 ans sont pris en considérations comme dépenses éligibles et en particulier :les registres de délibérations municipales,
les registres paroissiaux,
les registres d’état civil
les plans cadastraux napoléoniens.
Soutien à la restauration du patrimoine immobilier :
La subvention est calculée par application d’un taux d’intervention :
Immeubles inscrits : Taux d’intervention de 30 % maximum des dépenses éligibles, Immeubles classés : Taux d’intervention de 20 % maximum des dépenses éligibles.
Les dépenses éligibles correspondent au coût des travaux et aux honoraires de maîtrise d’œuvre (hors études préalables), à l’exclusion des dépenses suivantes : Acquisitions foncières, assurances dommage ouvrage, travaux de démolition préalable, travaux de dépollution, travaux de voirie et réseaux divers (VRD).
Le montant des dépenses éligibles est plafonné à 1 M€. Pour les opérations faisant l’objet de plusieurs tranches, le montant est plafonné à 1 M€ par tranche de travaux.
Le projet de restauration doit avoir fait l’objet d’un dialogue avec la DRAC et l’architecte des bâtiments de France.
Une demande d’autorisation de travaux doit avoir été déposée.
Types d’éléments concernés : bâtiment / logis principal ; communs / corps de ferme ; édifice religieux
: particulier ; association/fondation ; société ; autre
Type de projet recherché
: restauration
: Oui
: Non
: Depuis 2016, chaque bénéficiaire de subvention régionale s’engage à proposer une offre de stage, afin de favoriser l’accès des jeunes au marché du travail.
Cette aide concernant la restauration des monuments et sites inscrits ou classés du département se subdivise comme ceci :
1) Restauration des monuments et sites :
Classés Communes : Taux modulé de la commune dans la fourchette 10/30 % Privés : Egale à 20 % des dépenses TTC
Inscrits Communes : Taux modulé de la commune dans la fourchette 20/60 % Privés : Egale à celle de l’Etat dans la limite cependant de 20 % des dépenses TTC
2) Entretien des monuments :
Classés Communes : Taux modulé de la commune dans la fourchette 10/30 % Privés : Egale à 25 % des dépenses TTC
Inscrits Communes : Taux modulé de la commune dans la fourchette 10/30 % Privés : Egale à 15 % des dépenses TTC
3) Secteurs sauvegardés et bâtiments situés en AMVAP :
Communes et privés : Intervention portant sur le surcoût architectural et définie au coup par coup en fonction des crédits disponibles.
Ce dispositif concerne la restauration, la pose ou l’entretien de toitures typiques (lauze et chaume). Le taux de subvention est fixé à 30% pour les résidences principales et 10% pour les résidences secondaires. La subvention est calculée sur un montant de travaux retenus, plafonné à 102/m2 pour la lauze et 149/m2 pour le chaume.
À noter que pour les toits en lauze, l’aide du département n’est possible qu’une fois tous les 30 ans.
: Accessibilité au public (ouvert au minimum pour les journées européenne du patrimoine ou RDV aux jardins, fête nationale etc.)
Type de projet recherché
: restauration ; entretien
: Oui
: Oui
:
– Projet situé sur un territoire rural (communes et lieux-dits de moins de 2.000 habitants
agglomérés).
– Une seule subvention Patrimoine Rural Non Protégé par site.
2016 2
– Impossibilité de faire une nouvelle demande de subvention avant cinq ans, à partir de la date de
l’arrêté de versement.
– Les bâtiments ne doivent pas être protégés au titre des Monuments Historiques (ni inscription, ni
classement).
– Ces travaux devront présenter un intérêt public : accessibilité, visibilité (une façade minimum
réellement visible de la voie publique).
– Les opérations devront être exécutées dans le strict respect de l’histoire du bâtiment : des
garanties qualitatives seront exigées de la part des entreprises choisies pour effectuer les travaux
(labels de qualité de type QUALIBAT ou références sérieuses similaires adaptées à l’objet).
– Le choix des matériaux sera inscrit dans les prescriptions délivrées avec la notification de
subvention. Le non-respect de celles-ci entraînera l’annulation de la subvention.
– Une convention d’accompagnement sera signée avec l’attributaire de la subvention, incluant le
cahier des charges des prescriptions et les droits photographiques pour un usage public de
l’image des travaux réalisés.
– Les bénéficiaires s’engageront également à faire découvrir, au public, l’extérieur des bâtiments
subventionnés, lors de grandes manifestations nationales (Journées Européennes du Patrimoine
ou Journées des patrimoines de Pays et des Moulins), durant cinq ans à partir de la date de
l’arrêté de versement, et autoriseront le Département à diffuser la liste de ces bâtiments par les
moyens de communication départementaux
Plan de Financement
: Oui
: Au lancement du projet (post-devis)
Dossier
: Non
: scp@hauteloire.fr
: – L’identification du bâti sur une carte IGN au 25 millième, !
– Un plan cadastral de situation avec n° de parcelle, celle-ci en couleur, !
– Les plans du bâtiment, !
– Les photos couleur format 10 x15 de ce patrimoine avant travaux, montrant !
le bâti et son environnement avec les différents murs, gouttereaux et les deux
pignons,
– Le certificat de non-engagement des travaux (ci-joint), !
– Un titre de propriété, !
– Une copie du permis de construire, la déclaration de travaux/décision, !
– Un devis descriptif et estimatif établi par les entreprises retenues, !
– Un R.I.B. ou un R.I.P. !
Subvention au taux de 40% du coût de recrutement par l’EPCI d’un chargé de mission, plafonnée à 10 000 € hors limite du plafond d’aide propre à chaque structure en convention d’objectifs culturels avec le Conseil départemental.
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